Peyrolles-en-Provence - années 1970
Aujourd'hui, ce carrefour a été de nouveau totalement réaménagé puisque la circulation automobile y a diminué avec le déclassement de la nationale 7, et ce sont des feux Sagem Aluxe sur mât simple qui régulent la circulation.
Dans les années 1990, ce sont des nouvelles potences en aluminium qui y sont implantés, avec probablement des feux Théry Hindrick, remplacés dans les années 2000 par des feux Sagem Atlas 3G.
À la fin des années 1970, le carrefour est réaménagé et des feux tricolores Garbarini sur potence y sont installés, ainsi qu'un nouvel éclairage pour la nationale 7.
En 1970, c'est à ce carrefour qu'est tourné une scène célèbre du film "Heureux qui comme Ulysse", avec Fernandel. Le signal suspendu y figure toujours en bonne place.
L'augmentation de la circulation sur la N7 dans les années 1960 a eu pour conséquence l'ajout d'un ilot central avec borne lumineuse Garbarini, ainsi que de deux feux muraux double face de même facture afin de renforcer ce carrefour devenu dangereux.
Tout d'abord, ce carrefour a été équipé dès les années 1950 d'un feu clignotant suspendu à 4 faces (en réalité l'addition de 4 feux unicolores), rapidement complété par deux panneaux STOP.
Situé à l'intersection des routes d'Avignon et de Saint Rémy, sur le trajet de la mythique nationale 7 et sur la commune de Plan d'Orgon, ce carrefour important a été immortalisé plusieurs fois, ce qui nous permet aujourd'hui de reconstituer son histoire.
le carrefour de la nationale 7 à Plan d'Orgon
autres photos des Bouches-du-Rhône
Après la Seconde Guerre Mondiale, la ville de Marseille s'équipe de feux du fabricant Jean Neuhaus.
À partir des années 1960 et jusqu'à la fin des années 1970, la ville de Marseille fait appel au même fournisseur que la ville de Paris. C'est une des très rares villes à s'être équipée du même modèle de feu tricolore qu'à Paris.
Les années 1980 voient l'arrivée des signaux fonctionnant à l'aide de tubes fluorescents à très haute tension. Marseille choisi les signaux Europe du fabricant Silec, puis au début des années 1990 les signaux Atlas du même fabricant.
Marseille reste fidèle à ce fournisseur historique dans les années 2000 avec les feux Sagem Atlas 3G qui équipent la totalité de la ville, y compris les lignes de tramway. Il ne subsiste que de rarissimes exemplaires de feux Silec Europe à Marseille.
Roquefort La Bédoule - 1960
• Feux d'origine inconnue
• Feux d'origine inconnue
• Feux d'origine inconnue
D'autres dispositifs sont installés la même année, toujours sur la Cannebière : "des écriteaux portant les inscriptions ARRET et PIÉTONS qui apparaissent et disparaissent au fur et à mesure que le passage est ouvert ou fermé" écrit Le Petit Marseillais.
Le Sémaphore, 28 avril 1931
Le Petit Marseillais, avril 1931
Le 28 avril 1931, un adjoint au maire de Marseille informe ses habitants dans le journal Le Sémaphore que des nouveaux dispositifs composés de disques lumineux et d'une sonnerie entrent en service sur la Cannebière.
Ce sont les premiers feux de signalisation installés à Marseille.
• Premiers feux de signalisation
• Premiers feux de signalisation
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